Au seuil de ce que les Européens et, bien entendu, leurs descendants ayant peuplé ce que, dans leur européocentrisme, ils ont appelé le Nouveau Monde, conviennent d’appeler le Troisième Millénaire, il est tentant, pour ceux qui ont vécu, adultes, le dernier demi-siècle, d’y attacher une importance particulière par référence à ce pseudo-événement.
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Jacques P. VANDERLINDEN

Professeur Université de Moncton (Canada)

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