RESUME

L’arbitrage est une réalité en Afrique depuis longtemps déjà. C’est avec l’avènement de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires que ce domaine a pu avoir un dispositif bien structuré. Etant un mode alternatif de règlement des différends, l’arbitrage a pour fondement prépondérant la volonté des parties qui y font recours. Il s’est donc posé en filigrane la question de la portée de la volonté des parties à l’arbitrage OHADA. Le constat est que tout comme en matière contractuelle, elle est un élément indispensable à l’efficacité de ce mode de résolution des litiges. C’est la raison pour laquelle sa portée est traduite par une prégnance avérée, et un recul tout de même constaté.

Mots-clés : volonté – parties – arbitrage – OHADA

 

WAHAM MAYEGLE Joseph Laurent

Enseignant-chercheur au Département de Droit des affaires et de l’entreprise de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université de Dschang (Cameroun) - Chargé de Cours